Quelques fois, la vie nous réserve de belles surprises... ici, sous l'ombrière de Norman Foster, une mise en garde facétieuse contre l'effet "Narcisse". Ouf ! Sauvée !
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Messages les plus consultés
-
Le soleil, la mer, les vagues, le bruit du moteur. Par une belle journée printanière , le bateau file sur l'eau. Les grues au loin se d... -
Acte XVII : La fondation Maeght. Un ciel voilé, une absence d'ombres, un lieu paisible. "50 artistes, une collection", moi je ... -
Musée d'art contemporain de l'architecte Oscar Niemeyer Un musée à l'architecture particulière, au sous sol un restaurant... -
Petit coin de paradis dans les alpes où il fait bon se ressourcer. Un moment de plénitude entre amis, au soleil, et me vo... -
Acte I - Centre Beaubourg, Paris, dimanche 14 février 2010, 12h35 Avec une amie plasticienne, devant la difficulté de trouver des lieux ... -
Comme s'il se dégageait de la peinture un corps, quelques lignes structurant la toile, sillonnant le pigment, donnant l'idée d... -
j'ai visité l'exposition Alechinsky hier avec beaucoup de plaisir au musée Granet. Je suis tombée en arrêt devant une de ses œuvres ...
C'est vous qui avez fait ça ?
RépondreSupprimerEn ce qui concerne le travail au pochoir sur le sol sous l'ombrière de Norman Foster, non ce n'est pas moi et je ne sais pas qui en est l'auteur. Mais j'ai trouvé l'idée très sympathique. Je suis seulement l'auteur de la photo qui est le reflet dans l'ombrière.
RépondreSupprimer