lundi 6 février 2017

La belle endormie.
























On ne fait pas une photographie avec un poloaroïd comme on ferait avec un appareil photo numérique. L'erreur est fatale, le point de vue est tellement changeant que cela crée des déformations. Pas de zoom possible, il faut gérer la distance entre le sujet et l'objectif qui, lui, ne correspond pas du tout au viseur. Et il faut recharger l'appareil toutes les 10 photos. Pour un travail de ce type là, plus on multiplie les prises de vues, plus il va être difficile de garder la bonne distance entre l'appareil et  le sujet, engendrant des déformations intéressantes, et un morcellement de ce dernier.

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