Voilà un moment que j'en rêvais. Marcher sur les pas d'Andy Goldsworthy et aller à la rencontre de ses œuvres dispersées dans les Alpes de Haute Provence. Pour visiter ses refuges, il faut le mériter. Marcher, mettre un pas devant l'autre doucement, caler ma respiration sur mes pas, avancer, entendre les sons qui m' entourent, sentir l'air caresser ma peau et arriver sans m'en rendre compte au refuge du vieil Esclangon. C'est en redescendant que j'ai trouvé de la calcite un peu partout en traversant une rivière. Le souffle d'Andy Goldsworthy s'est levé, et me voilà à tracer un carré.
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