Diptyque, triptyque, polyptyque... comme par ricochet, le besoin d'agrandir la surface de la toile se fait sentir. Prolonger l'espace, créer un écho, une respiration. Élargir le champ de vision, tirer le regard ailleurs, mettre trois petits points de suspension à l'imaginaire, ouvrir la porte... L'exploration d'un paysage du clair-obscur qui n'aurait ni début ni fin.
Clair-Obscur
Acrylique, mortier, pigments 3x 50x50
dimanche 15 août 2010
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